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- Les masques dogons
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Brève introduction à l’art traditionnel guinéen

mardi 21 janvier 2003  


La production artistique traditionnelle guinéenne bien que très variée dépend essentiellement des groupements culturels.

Les nuances des oeuvres les unes par rapport aux autres sont mieux comprises quand on les regroupe suivant leur appartenance géographique et culturelle.



On peut ainsi les regrouper en trois groupes principaux :

Les oeuvres de la savane peuplée par des populations islamisées de longue date qui ont tendance à mépriser l’image sculpturale.

Les oeuvres des associations de la forêt du sud-est.

Les oeuvres de la mosaïque maritime de petites collectivités politiquement décentralisées.

Le premier groupe d’oeuvres artistiques correspondant à la zone de Guinée la plus étendue. On y rencontre les Peuls, les Toucouleurs et les Mandingues (malinké, sousou, etc...)

Les Peuls sont célèbres pour leurs énormes constructions en fibre à dôme (Haselberger 1962, Poujade 1948. Prussin 1986) et leurs coiffures (Bowald 1939 :15,82 ; Renaudeau 1978 : 133).

Les villages Susu révèlent souvent sur les murs extérieurs des peintures abstraites remarquables (Haselberger 1962).

Les Malinké sont célèbres pour leur style musical(Bird. et al, 1974, Fodéba 1948).

Dans la région forestière, il existait d’importantes traditions de masques chez les Kpellè, les Mano et les Kono de l’Est.

Les peuples de la région maritime de l’Atlantique ont créé des masques faciaux avec des costumes, mais ils se sont davantage concentrés sur des coiffes en bois de grande taille qui pèsent souvent jusqu’à 50 kilos.


Cet article est tiré de la publication "La Guinée et ses héritages culturels" de Frederick Lamp.




lundi, 20 janvier 2003
Le masque africain, au delà de l’objet d’art

Le masque africain, souvent considéré par les nons avertis comme un objets d’art, a cependant une profonde signification culturelle. Chaque masque était traditionnellement utilisé dans des circonstances précises à l’occasion des cérémonies aux quelles il conferait un caractère sacré. Il est le support à travers lequel se manifeste le pouvoir des esprits et des ancêtres.



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Masques africains, visages magiques de l’Afrique

lundi, 20 janvier 2003
Une peinture qui a retenu notre attention

Peinture de Tamsir Dia (Côte d’Ivoire) exposée lors de la biennale d’art Africain à Dakar.



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Une oeuvre de Tamsir Dia

lundi, 20 janvier 2003
La biennale de l’art africain contemporain

Cinquième Edition du 10 mai au 10 juin 2002



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